10h20. Je me sens glisser dans le marécage du « pas assez de temps ». Tellement à faire, tellement d’envie, et la petite aiguille qui avance si vite! Déjà 10h20!
Stop!
Je choisis de remplacer ce cercle vicieux par une ouverture totale à l’expérimentation. Comment se passe ma journée si je renonce à croire que je n’aurai pas assez de temps et m’ouvre au temps élastique ou einsteinien?
Il n’est que 10h23, et je ressens déjà joie, paix et anticipation joyeuse. Je me réjouis d’être à la fin de la journée pour observer comment ce changement de posture a influencé ma productivité. A tout à l’heure!
17h12. Douceur. C’est le mot qui me vient pour décrire la suite de ma journée. J’ai avancé comme souhaité, sans stress, avec efficacité et sérénité. Oui, vraiment doux de changer de perspective!